Architecture

IV – L’architecture de l’aqueduc

A – D’abord, l’architecture du pont du Gard :

Vu de loin :

  • Trois rangées d’arches superposées
  • Les niveaux 2 et 3 sont en retrait sur celui situé au-dessous
  • Grand, moyen et petit appareil
  • La couverture dallée du pont-aqueduc,

Vu de près :

  • La section transversale du canal,
  • Les concrétions,
  • L’absence de mortier entre les blocs aux niveaux 1 et 2, et dans la partie inférieure (moyen appareil) du niveau 3,
  • Les moellons de la partie supérieure du niveau 3 sont liés avec du mortier de chaux,
  • Le pont accuse une convexité vers l’amont et une inclinaison vers sa rive droite. Est-il possible de les expliquer en proposant des hypothèses compatibles avec les lois de la physique et de l’hydraulique ?
  • Le pont routier,
  • Les inscriptions et les gravures romaines (la numérotation des quelques voussoirs, la silhouette gravée sur la clef de voûte de l’arche centrale, les signes phalliques, ledit lièvre du pont du Gard et la destrau), VERANIUS, MENS TOTUM CORIUM, la numérotation des voussoirs,
  • Les signes gravés par les compagnons passants :Les inscriptions.
    • Les emplacements
    • Les époques
    • Ce qu’ils évoquent,
    • Leur étendue.

B – l’architecture de l’aqueduc en dehors du pont :

  • conduite enterrée ou en élévation,
  • coupe de l’aqueduc,
  • couverture voûtée,
  • bassin de régulation,
  • radier apparent (entre le bassin de régulation et la butée amont du pont).

Au fait, pourquoi la couverture de l’aqueduc est-elle voûtée le long de l’aqueduc, sauf au-dessus du pont ?

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