Né en 1857, à Saint-Hippolyte-de-Caton, près d’Alais (Alès s’écrivait autrement jusqu’en 1926), et décédé à Avignon en 1939, le commandant Emile Espérandieu fut élève à l’école militaire de Saint-Cyr en 1880. Frappé de complète surdité à la suite d’opérations militaires, il prit sa retraite à la veille de la Grande guerre et s’adonna à l’archéologie. En 1905 il participa à des fouilles sur le site présumé d’Alésia, puis il s’intéressa particulièrement au pont du Gard et à l’aqueduc de Nîmes, le grand aqueduc de son département. En 1926, il écrivit Le pont du Gard, un ouvrage d’une soixantaine de pages, petite bible du prestigieux monument.
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